Romancier et nouvelliste, Michel Layaz, né à Fribourg, compte parmi les voix les plus importantes de la littérature suisse. En 1993, il publie aux éditions de l’Âge d’Homme Quartier Terre, puis l’année suivante Le Café du professeur (1995) et Ci-gisent (1998) pour lequel il obtient le prix Édouard Rod. Il publie ensuite aux éditions Zoé Les Légataires (2001), puis Les Larmes de ma mère (2003) et obtient le Prix Dentan ; en 2004, il publie La Joyeuse complainte de l’idiot, une histoire décalée, et Le Nom des pères, un recueil de trois nouvelles. Suivront Il est bon que personne ne nous voie (2006), puis Cher Boniface (2009).

Son dernier roman, Deux sœurs (éd. Zoé, 2011), met en scène deux héroïnes indissociables, sauvages et fantasques qui oscillent entre normalité et marginalité.

Éléments bio-bibliographiques de novembre 2011